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Vivre la Méditation au quotidien et Instruction à la Vie Spirituelle :

L'Éthique, fondement de la morale et de la souffrance, Chapitre 1


Notre-Dame de LourdesNous recherchons tous le bonheur et voulons éviter la souffrance. Le bonheur authentique est caractérisé par la Paix. Le plus sûr moyen de l'obtenir est d'agir dans l'intérêt d'autrui, ce qui exige une discipline éthique, une morale et une prise en main de l'émotion afflictive (c'est-à-dire :"ce qui afflige de l'intérieur"). Des émotions telles que la haine, la colère, la concupiscence, les désirs incorrects et l'envie, qui compromettent inéluctablement notre paix intérieure, sont en effet considérées comme des causes négatives d'affliction. Nous constatons que ces émotions afflictives sont parfois si puissantes que, si nous ne faisons rien pour nous y opposer, elles peuvent conduire à la folie et même au suicide, quel que soit le prix que nous accordons d'ordinaire à la vie. De tels extrêmes étant exceptionnels, on a toutefois tendance à considérer que les émotions négatives font parties intégrantes de notre esprit, et qu'on ne peut pas grand-chose à leur sujet. Négligeant ainsi de voir leur potentiel de destruction, on n'éprouve pas le besoin de les combattre, loin de là ! On a plutôt tendance à les nourrir et à les renforcer, on leur prépare un sol sur lequel elles prospèrent... Et pourtant, comme nous allons le voir, leur nature est absolument destructrice !

Les émotions négatives et les pensées négatives s'opposent à notre aspiration fondamentale, au bonheur et à la non-souffrance. Quand nous agissons sous leur influence, nous oublions l'effet de nos actes sur autrui, si bien qu'elles sont la cause d'un comportement destructeur pour nous-mêmes et pour les autres. Elles sont la source même d'une conduite non-éthique. Le meurtre, la tromperie, le vice, la calomnie, la malveillance, les ragots et le scandale, l'esprit de critique créateur de conflits, l'esprit de polémique, ont tous leur origine dans une émotion afflictive. C'est pourquoi nous prétendons qu'un esprit indiscipliné, c'est-à-dire un esprit qui se laisse guider par la haine, la colère, l'avarice, l'orgueil, les vues erronées, (etc...), est la source de toutes les difficultés qui n'entrent pas dans la catégorie des maux inévitables, comme la maladie, la vieillesse et la mort. Notre absence de contrôle sur la façon dont nous réagissons à nos émotions afflictives, ouvre la porte sur la souffrance à la fois pour les autres et pour nous-mêmes.

Dans notre quête du bonheur, nous cherchons tout naturellement, et à juste titre, à échapper à la souffrance. Examinons maintenant cette qualité, ou cette état, que nous espérons si vivement éviter, mais qui réside au coeur même de notre existence. La souffrance et la peine sont des faits inhérents à notre vie. L'être sensible tel que je le définis d'ordinaire est celui qui a la capacité de connaître la peine et la souffrance. On pourrait, d'ailleurs, dire aussi que c'est cette expérience qui nous rattache aux autres : elle est la base de notre faculté d'empathie. Cependant, on peut également observer que la souffrance relève de deux catégories distinctes : il y a celle, évitable, qui découle de phénomènes tels que la guerre, le crime, la pauvreté, la haine, la violence, l'insatisfaction, voire l'analphabétisme et il y a celle, inévitable, qui découle des phénomènes telles que la maladie, la vieillesse et la mort. Jusqu'ici nous avons parlé de la souffrance évitable, d'origine humaine nous allons, à présent, réfléchir sur celle qui est inéluctable.

Les problèmes et les difficultés que nous affrontons dans la vie ne s'apparentent pas tous à des désastres naturels (dont nous pouvons nous protéger simplement en prenant certaines précautions, comme par exemple, dans le cas de mauvaises récoltes, en constituant des réserves de nourriture). Pour ce qui est de la santé, même si nous avons soin de nous tenir en forme et de faire attention à notre alimentation, notre corps peut céder à la maladie. Il arrive ainsi que notre vie soit gravement perturbée et que nous ne soyons plus à même de faire ce qui nous plaît, ou d'aller là où nous avons envie d'aller. Plutôt que de manger ce qui nous ferait plaisir, il nous faut alors avaler des médicaments qui ont un goût affreux. Lorsque les choses vont vraiment mal, nous pouvons nous trouver assaillis de douleurs si tenaces que nous aspirons à mourir. Dans le domaine de l'âge, dès le jour de notre naissance, nous sommes confrontés à la perspective de vieillir et de perdre la souplesse de la jeunesse avec le temps, les cheveux s'en vont, les dents tombent, nous perdons la vue et l'ouïe... Nous ne digérons plus les mets qui, naguère, faisaient nos délices. Nous ne nous souvenons plus des événements hier encore si vivants, et nous oublions jusqu'au nom de nos proches. Si nous vivons suffisamment longtemps, nous tombons dans un tel état de décrépitude que notre vue fait reculer les autres, alors que jamais nous n'avons eu tant besoin d'eux... Puis vient la mort, sujet presque tabou dans la société moderne, semble-t-il. Même si nous arrivons à la voir comme une Délivrance, et quoi qu'il puisse advenir ensuite, la mort signifie la séparation d'avec les êtres aimés, d'avec les objets auxquels nous tenons, d'avec tout ce qui nous est cher...

Après cette description de l'inévitable, il convient de signaler encore une catégorie de souffrances : celles qui résultent de l'indésirable. En effet, on peut souffrir du fait d'un accident, ou d'une simple contrariété. On peut, tout comme ceux qui ont perdu leur maison ou qui sont exilés loin de chez eux, souffrir parce que quelque chose nous a été enlevé. On peut aussi souffrir de ne pas obtenir ce que l'on désire en dépit de tous les efforts : nous nous sommes éreintés à travailler les champs, par exemple, mais la récolte est mauvaise, ou encore, nous nous consacrons nuit et jour à une affaire, et quelque événement dont nous ne sommes en rien responsables, vient soudain tout faire échouer. On peut souffrir du doute, de ne jamais savoir où et quand on va récolter l'adversité (par expérience, nous savons tous quelle insécurité et quelle angoisse il peut en résulter). Et même lorsque l'on a obtenu ce que l'on désirait, on peut souffrir de se sentir insatisfait et en avoir la vie gâchée. Tout cela fait partie de notre expérience quotidienne d'êtres humains aspirant au bonheur. Et comme si cela ne suffisait pas, il s'ajoute encore le fait que les expériences dont nous attendons du plaisir peuvent elles-mêmes devenir une source de souffrance : celles-ci n'apportent pas toujours ce qu'elles semblaient promettre. Quand on y regarde de plus près, on se rend compte que certaines expériences ne sont agréables que dans la mesure où elles calment une certaine souffrance, comme lorsque l'on mange pour apaiser sa faim : les premières bouchées nous procurent du plaisir, puis vient la satiété, et si nous ne nous arrêtons pas, comme tous les plaisirs poussés à l'extrême, manger devient une source de désagrément. Il n'en reste pas moins que le contentement est indispensable au bonheur authentique.

Essentiellement inévitables, toutes ces manifestations de souffrance sont des faits naturels. Mais cela ne signifie pas qu'il n'y ait rien à faire à leur sujet, ni que cela n'ait rien à voir avec la discipline éthique. Il est vrai que, selon certaines traditions spirituelles, comme, par exemple, le Bouddhisme ainsi que d'autres philosophies religieuses, la souffrance est la conséquence de causes et de conditions antérieures. C'est ce que l'on nomme : "la Loi de causalité" (de cause à effet). Mais imaginer, comme tant de gens le font en Orient et en Occident aussi, que tout ce que nous vivons est prédéterminé, est absolument faux ! Et il serait plus faux encore d'en tirer une excuse pour ne pas prendre nos responsabilités dans quelque situation où nous nous trouvons. Comme, actuellement, le mot "Karma" est entré dans le vocabulaire quotidien, il me paraît important de clarifier un peu ce concept : Karma est un mot sanskrit signifiant "action". Il traduit une force active, avec l'idée que le résultat d'événements à venir peut être influencé par nos actions. Voir dans le Karma une sorte d'énergie indépendante qui prédestine le cours de la vie entière, est donc tout simplement une erreur. Qui crée le Karma ? Nous-mêmes. Tout ce que nous pensons, disons, désirons, faisons et omettons, crée le Karma. Tandis que j'écris, par exemple, mon action engendre des circonstances nouvelles, provoque un autre événement, et mes propos suscitent une réaction dans l'esprit du lecteur. Quoi que nous fassions, il y a toujours une cause et un effet. Dans notre vie de tous les jours, la nourriture que nous mangeons, le travail que nous entreprenons, ou le plaisir que nous nous accordons, sont toujours fonction d'une action : la nôtre. Tel est le Karma ! Mais nous ne pouvons pas nous tordre les mains de désespoir lorsque survient une souffrance inévitable : en effet, dire que tout malheur n'est que le résultat du Karma, équivaut à dire que nous sommes totalement impuissants. S'il en allait ainsi, il n'y aurait nulle raison d'espérer... Et nous pourrions aussi bien prier pour que vienne au plus vite la fin du monde !

Une juste appréciation des causes et des effets suggère que, loin d'être impuissants, nous jouons un rôle important dans notre expérience face à la souffrance. La vieillesse, la maladie et la mort sont inévitables. Mais, tout comme lorsque nous sommes confrontés aux pensées et aux émotions négatives, nous avons assurément le choix quant à la façon dont nous réagissons à la souffrance qui peut en découler. Si nous le voulons, nous pouvons adopter une approche plus objective et rationnelle, et apprendre ainsi à discipliner notre réaction. Nous pouvons aussi nous contenter de pleurer sur nos malheurs, mais, dans ce cas, la frustration nous guette, l'émotion afflictive surgit, et c'en est fini de notre paix d'esprit. Si nous ne contenons pas notre tendance à réagir négativement à la souffrance, celle-ci devient source d'émotions et de pensées négatives. Il y a donc un rapport évident entre l'effet de la souffrance sur notre coeur et notre esprit, et notre pratique de la discipline intérieure. Notre attitude de base envers la souffrance influence grandement la façon dont nous vivons : prenons l'exemple de deux personnes souffrant d'un même cancer en phase terminale. La seule différence entre elles est leur attitude face à la maladie : l'une y voit quelque chose qu'il faut accepter et, si possible, transformer en une occasion de développer sa force intérieure l'autre cède à la peur et à l'amertume, et l'avenir lui inspire l'angoisse. Quoique sur le plan des symptômes physiques il puisse n'y avoir aucune différence profonde dans la manière de vivre la maladie, chez la seconde personne, le tourment de la souffrance intérieure s'ajoute à la souffrance physique. Cela laisse donc supposer que le degré de souffrance que nous éprouvons dépend en grande partie de nous-mêmes. Il est donc essentiel de garder une juste perspective de ce que nous vivons. Nous constatons que quand nous regardons un problème de près, il a tendance à occuper tout notre champ de vision et à paraître énorme, alors qu'en prenant un peu de recul, le même problème sera vu automatiquement en relation avec d'autres choses, ce qui suffira à faire une très grande différence. Cela nous permet de voir que, dans une situation réellement tragique, l'événement le plus malheureux présente d'innombrables aspects et peut être approché sous bien des angles. En fait, il est très rare, sinon impossible, de trouver une situation qui soit entièrement négative, sous quelque jour qu'on l'envisage. Quand la tragédie ou le malheur nous frappent, ce qui ne peut guère manquer d'arriver, il est parfois très salutaire d'établir une comparaison avec un autre événement, ou de se ressouvenir d'une situation comparable vécue dans le passé par nous-mêmes ou d'autres personnes avant nous. En effet, si nous réussissons à déplacer notre centre d'attention vers les autres, un effet libérateur se produit. Il y a donc quelque chose dans la dynamique de l'égocentrisme et de l'excès de soucis que l'on se fait pour soi-même, qui tend à amplifier notre souffrance à l'inverse, quand nous commençons à envisager, à comparer notre souffrance par rapport à celle des autres, nous en venons à reconnaître que, paradoxalement, elle n'est pas aussi insupportable qu'elle le paraît. Cela nous aide à conserver notre paix intérieure beaucoup plus facilement que si nous nous concentrions sur notre problème, au point de ne plus rien voir d'autre. Mon expérience personnelle m'a permis de constater que lorsque je reçois des mauvaises nouvelles de la part d'un malade ou d'un maléficié, dans le cadre de mon travail, ma réaction immédiate est tout naturellement la tristesse. Cependant, en situant ces phénomènes dans leurs contextes et en me rappelant que la disposition humaine fondamentale à l'affection, à la liberté, à la vérité et à la justice Divine, finit nécessairement par l'emporter, je me rends compte que je m'en sors raisonnablement bien. Même après les pires nouvelles, il est rare que me viennent ces sentiments de colère impuissants qui ne font qu'empoisonner l'esprit, aigrir le coeur, et affaiblir la volonté.

Il est bon, aussi, de se rappeler que les périodes les plus enrichissantes en matière de sagesse et de force intérieure, sont souvent celles, aussi, de grandes difficultés. Avec la juste approche, ou "Sagesse-Connaissance", nous voyons ici, une fois de plus, à quel point il est important de développer une attitude positive, l'expérience de la souffrance pouvant alors nous ouvrir les yeux sur la réalité. On constate également que la souffrance peut développer notre confiance, notre indépendance, et affermir notre courage. Pour s'en convaincre, il suffit de regarder autour de soi : dans certaines communautés de réfugiés, par exemple, parmi les survivants des premières années d'exil, il s'en trouvent qui, bien qu'ayant affreusement souffert, comptent parmi les individus spirituellement les plus forts et les plus joyeusement insouciants. Inversement, on s'aperçoit que face à des difficultés relativement légères, certaines personnes qui ont "tout dans la vie", sont enclines à perdre espoir et à sombrer dans l'abattement. Il y a dans la richesse une tendance naturelle à nous "gâter", si bien qu'il nous devient toujours plus difficile d'accepter et de supporter les problèmes que tous nous rencontrons de temps à autre.

Voyons maintenant quels choix nous sont offerts quand nous sommes face à une difficulté : tombant dans un extrême, nous pouvons la laisser nous écraser tombant dans l'autre, nous pouvons prendre congé, partir en "pique-nique" et l'ignorer mais nous pouvons aussi faire face à la situation, l'examiner, l'analyser, en déterminer les causes et chercher comment y remédier. Quoique cette troisième attitude puisse, à court terme, nous occasionner une souffrance supplémentaire, elle est manifestement préférable aux deux autres. Si nous tentons d'éviter un problème en fermant les yeux, en buvant ou en nous droguant, ou même en ayant recours à certaines formes de méditation ou de prières comme moyens d'évasion, nous pouvons éprouver un soulagement immédiat, mais le problème demeure on élude ainsi la question, mais on ne la résout pas. Une fois de plus, le risque que l'agitation mentale et émotionnelle ne s'ajoute au problème initial, apparaît. Dès lors, l'inquiétude, la peur et le doute augmentent, et, pour finir, la colère et le désespoir s'en mêlent avec leur cortège de souffrances potentielles pour soi et pour les autres. Imaginons que nous recevions une balle dans le ventre : la douleur est atroce. Que convient-il de faire ? Il faut évidemment retirer le projectile. L'intervention que cela nécessite aggrave le traumatisme, mais nous acceptons de nous y soumettre afin que la guérison soit possible ! De même, par suite d'un accident ou d'une infection, il se peut que nous devions sacrifier un de nos membres pour conserver la vie, et ce sacrifice nous apparaît alors comme un moindre mal. Le simple bon sens nous dicte d'accepter certaines épreuves pour en éviter de pires... Cela dit, j'avoue que la décision n'est pas toujours facile à prendre. Lorsque j'avais six ou sept ans, j'ai été vacciné comme cela se fait pour beaucoup. Si j'avais su combien j'allais souffrir, je ne suis pas sûr que je me serais laissé convaincre que le vaccin valait mieux que la maladie, étant donné les effets indésirables que cela a provoqué : j'ai eu mal pendant dix jours pleins, et j'en garde encore aujourd'hui un mauvais souvenir, surtout en ce qui concerne les piqûres.

Si l'idée d'affronter la souffrance peut sembler quelque peu effrayante, il est bon de se rappeler que rien n'est permanent dans le monde où nous vivons ordinairement. Tous les phénomènes sont sujets aux changements et au déclin. Par ailleurs, ainsi que le suggère la description de la réalité que j'ai donnée plus haut, nous nous trompons en imaginant que la souffrance ou le bonheur que nous connaissons, peuvent être attribués à une cause unique : en effet, selon le concept de l'Interdépendance, tout ce qui arrive survient dans le contexte de causes et de conditions innombrables. Si ce n'en était pas le cas, aussitôt fussions-nous en contact avec quelque chose que nous estimons bon, et nous serions heureux, ou, aussitôt fussions-nous en rapport avec quelque chose que nous jugeons mauvais, et nous serions affligés les motifs de chagrin et de joie seraient faciles à discerner, et la vie apparaîtrait parfaitement simple : nous aurions d'excellentes raisons pour nous attacher à un type de personnes, de choses ou d'événements, et de chercher à éviter ce qui constituerait une cause d'irritation. Il en va toutefois autrement dans la réalité. Personnellement, je trouve d'un très grand secours le conseil donné, à propos de la souffrance, par le Grand Saint et Vénérable Curé d'Ars, et aussi par le Très Saint Padre Pio, et d'ailleurs, aussi, par le grand érudit indien Shantideva : "quand, disent-il, nous rencontrons la difficulté, il est essentiel de ne pas la laisser nous paralyser. Sinon, elle risque de nous écraser complètement. En nous servant de nos facultés critiques, il nous faut, au contraire, étudier la nature du problème. Si nous voyons un moyen qui permet de la résoudre, il n'y a pas lieu de s'inquiéter. La raison veut que nous mettions toute notre énergie à découvrir et à appliquer ce moyen. Dans le cas contraire, si nous voyons que la nature du problème exclut toute solution, il est tout aussi inutile de s'inquiéter car si rien ne peut changer la situation, l'inquiétude et le fardeau psychologique ne font que l'aggraver" : isolée du texte philosophique où elle apparaît comme le point culminant d'une suite de réflexions complexes, la façon de voir de Shantideva peut sembler quelque peu simpliste. Mais sa beauté-même réside dans cette qualité de simplicité, et, comme le disait le Saint Padre Pio : "soyez simples, bons et humbles"... Il n'est pas d'argument qui tienne à l'encontre du bon sens que traduit une telle expression.

Quant à la possibilité que la souffrance ait une utilité réelle, c'est un autre sujet. Mais, dans la mesure où l'expérience que nous en avons nous rappelle ce que les autres doivent endurer aussi, elle est une puissante injonction à pratiquer la Compassion, et à éviter de faire souffrir autrui. Dans la mesure où la souffrance éveille notre empathie et notre approche des autres, elle peut servir de fondement à l'amour et à la Compassion. Sources potentielles de colère et de désespoir, les événements tragiques sont aussi une source potentielle de croissance spirituelle : qu'ils soient l'un ou l'autre dépend de notre réaction.

... "Pas d'attachement aux phénomènes de la Réalité,

causes de nos émotions perturbatrices

qui voilent la clarté de notre Esprit,

car la même réalité est souriante ou terrifiante

selon notre propre attitude en face d'elle" ...

 

... "Il est plus grave de ne pas pouvoir dominer sa pensée

que d'avoir un ennemi"...

Bouddha Gautama Shakyamuni

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